Ne me casse pas – (Athena Farris) – L'homme qui a baisé Farris – MOFOS

Ne me brise pas – (Athena Farris) – L’homme qui a baisé Farris – MOFOS Elle a détourné le regard de moi et a dit : « J’ai rencontré quelqu’un.

Un frisson me parcourut et je dus soudain me forcer à respirer. « Ouais. Il va falloir qu'on sorte bientôt. » « Non. Je comprends », dis-je. Et Natalie était l'une d'elles. Avec le temps, c'était devenu une affection, une attention et un amour sincères. Prends-la. La sœur de Dillon avait dix-neuf ans et était sauvage – deux choses que je n'étais pas. « Il faudra que tu me montres les ficelles. On avait l'aine trempée, et je ne pouvais qu'imaginer à quoi ressemblait le drap sous nous. » « Quand tu as dit que ça te manquerait, tu voulais dire pendant le mois suivant, pendant que tu étais de retour au Kansas pour t'installer ici, ou parce que c'était la dernière fois ? »

Elle hésita. « J'ai dit que ça allait me manquer », dit-elle d'une voix rauque. « Jouis pour moi ! » Elle me fixa du regard, pleurant en silence tandis que les instants s'éternisaient. « Maintenant, il n'y avait aucune chance que je fasse l'un ou l'autre. Pourquoi ? »

Elle secoua la tête. « Imagine si j'avais déjà acheté une bague et tout », répondis-je, la bouche pincée de dégoût juste avant de reprendre une gorgée de café. « Mince », dit finalement Dillon, « c'est nul. Je ne peux pas être là », dis-je. Mes morsures se transformèrent en baisers et je commençai à les faire glisser doucement sur sa peau claire, le long de son omoplate, jusqu'à sa colonne vertébrale. Pourquoi ? » demandai-je à nouveau. Lucas demanda.